Aujourd'hui mercredi, journée des enfants ! (enfin en temps normal..) .
Je vous propose une petite histoire à écouter pour aider à mieux dormir en sachant que cette histoire peut aussi être écoutée par les grands si vous souhaitez revenir en enfance !
Puis j'ai trié des phrases positives qui me parle, peut-être que ces dernières vous parleront également pour aider votre enfant à croire en lui.
15 PHRASES POSITIVES
Je vous propose 15 phrases positives pour aider les enfants à croire en eux.
« Tu n’as pas encore réussi. C’est pour bientôt. »
Les termes « bientôt », « encore », « pour l’instant » « pour le moment » permettent de relativiser un échec (temporaire) et orientent le regard vers une future réussite. Ces expressions améliorent considérablement l’état d’esprit des enfants.
« Je vois les efforts que tu fais. » « Quand tu réalises cela, tu développes tes talents » « Tu progresses à chaque tentative » « J’ai remarqué ton intention de … » « Tu as en toi des forces insoupçonnées »
L’idée est d’évoquer les efforts, les intentions, les talents et les forces qui émergent (sans juger la personne). C’est ce processus d’émergence et son caractère évolutif qui compte (dépister, encourager, développer). Cette reconnaissance du cheminement mental et du comportement alimentera le sentiment de gratification (et boostera l’estime de soi)
« Chaque échec/erreur te rapproche de la réussite. »
Cela implique que sur la route du succès, se trouvent des marches/échecs/obstacle à franchir. Il est important de se lancer, de commencer, d’essayer. On ne peut pas réussir si on n’a pas suffisamment essayé (et échoué).
« Quel est ton but/objectif ? »
Rien de tel que d’orienter les efforts dans le bon sens. Avant chaque exercice, demandons-nous quel est l’objectif.
« Tu es plus fort que ce que tu crois »
La force intérieure se cultive en croyant en soi et en s’attendant au meilleur.
« J’ai remarqué que tu continuais à pratiquer la guitare malgré les fausses notes et tu abandonnes plus rapidement les mathématiques. Qu’est-ce qui rend plus facile/plaisant la guitare que les mathématiques ? »
Servez-vous de la liste des activités que votre enfant semble apprécier et celles qui semblent l’ennuyer. Puis faites un exercice d’imagination pour transposer un univers à l’autre. « Si j’ai 18 notes sur ma portée et que j’ai 4 portées, combien vais-je jouer de notes au total ? ». Ainsi, les facilités d’un univers serviront dans l’autre.
« Tu préfères que nous jouions ensemble aux jeux vidéo ou que nous rendions visite à mamie une fois que tu auras fini ? »
Encore une projection positive avec un attrait supplémentaire et un choix. L’attrait supplémentaire est la visite à mamie où l’enfant pourra lui raconter son succès. La présentation de choix place l’enfant comme acteur autonome.
« Je suis conscient des efforts que tu fais. Je suis fier de toi, que tu réussisses ou non. »
Le rappel de l’attachement et de l’amour inconditionnel est un puissant moteur pour l’enfant.
« Lorsque je ne trouve pas la solution pour résoudre un problème dans mon travail, je prends une longue inspiration pour vider ma tête, je souris, je serre le poing et je dis « Tu n’es pas le premier problème que je résous et tu ne seras pas le dernier ! »
Le témoignage personnel a du poids car nous sommes les modèles de nos enfants. De plus, nous profitons ici pour suggérer un rituel de remotivation. Prenons un ton théâtral pour l’amuser. C’est encore mieux !
« A ton avis, l’eau est-elle plus forte que la pierre ? »
En dehors de l’aspect ludique de cette devinette, la leçon est que la persévérance est très puissante. L’eau érode la pierre au fil du temps.
« Que ferait ton héros préféré ? »
Ce petit jeu d’imagination va conférer à l’enfant les qualités de son héros. Vous lui rappellerez qu’il peut utiliser cette astuce quand bon lui semble puisque son héros veille sur lui dans sa tête.
« J’ai confiance en toi. »
Phrase de renforcement de la confiance en soi.
« Tu as le temps. »
Cette phrase diminue le stress lié au temps.
« Tu seras bientôt capable d’aider tes copains à leur expliquant que tu as compris ! »
L’enfant va ainsi s’imaginer dans un acte altruiste et social. Saine motivation que voilà.
« Tu n’as pas réussi pour le moment, mais ce n’est qu’une question de temps. »
Le « pour le moment » ou « encore » redonne de l’espoir et rende l’échec éphémère plutôt que définitif.